Julie
Comme l’ours polaire au milieu du blizzard, nous aussi, nous devons nous adapter à l’hiver. L’automne pousse ses derniers soupirs et déroule le tapis rouge pour le froid glacial de la saison froide. C’est l’occasion de jouer à cache-cache avec les shorts et les t-shirts pour accueillir avec amour les pulls en maille, ces boucliers douillets contre Dame Nature. Eux aussi ont besoin de soins, vous savez. C’est donc le moment de se poser la grande question : quelle est la meilleure façon de préserver ces somptueuses armures d’hiver ?
Sortez la balance : avantages et désavantages des pulls en maille
Comme nos amis à poils, les pulls ont leurs bons et leurs mauvais côtés. Rappelons-nous ici qu’aucune laine n’échappe au peloton. Les pulls en maille sont chaleureux, confortables, stylés, et vous donnent l’impression d’avoir un câlin constant (c’est ce qu’on appelle un avantage). Mais ils sont aussi fragiles, délicats et peuvent parfois relever de véritables défis pour leur entretien (là, on parle désavantage).
Pulls en maille, mode d’emploi
Alors, comment traiter ces précieux parures de laine comme des pièces d’art irréprochables d’un musée ? Premièrement, avec douceur. Oubliez la machine à laver, ce n’est pas un jardin d’amusement pour eux. Ils élisent plutôt domicile dans un bain d’eau tiède, généreusement saupoudré de détergent doux. Ensuite, laissez-les faire trempette une vingtaine de minutes et savourez ce moment de paix. Même les pulls méritent des bains de bulles.
Séchage, le grand défit
Après une splendide trempette, viens le temps du séchage. L’anxiété règne souvent en maître lors de cette étape. Pour éviter une crise de panique, faites confiance à la méthode dite “de la serviette”. C’est simple : posez votre pull sur une serviette éponge, enroulez-le délicatement et pressez doucement pour retirer l’excès d’eau. N’oubliez pas, nous ne faisons pas de judo avec des pulls. , l’étape finale consiste à le faire sécher à plat, à l’abri de la lumière directe du soleil. Et tada! Votre pull ressortira de cette expérience plus doux qu’un bébé phoque.
