Le maquillage : ce grand Art

Pendant de nombreuses années, je me suis présenté au monde avec une face complètement différente, quand je laissais parler le maquillage. Nulle trace de blush, liner, fond de teint ou encore mascara et chaque fois, l’interrogation s’installait dans les yeux de ceux qui me rencontraient. Souvent, ils me demandaient, la main sur le coeur, pleins de préoccupations. “Oh! Tu es malade? Tout va bien?”

Ces réactions ont finalement donné naissance à une véritable obsession de la mise en beauté quotidienne. Que je sois en route pour une banale sortie au supermarché ou une intense séance de sport à la salle de gym, il fallait que je sois maquillée (Ne me jugez pas, s’il vous plaît. J’étais de celles qui se maquillaient même pour aller transpirer).

La peau, cette grande incomprise

Parlons peu, parlons bien, parlons de ma peau. Acné et rosacée, deux compagnons indésirables, qui se sont installés confortablement sur mon visage pendant des décennies. Pour camoufler ces vilains, les fonds de teint, poudres et correcteurs étaient devenus mes fidèles alliés. Sans parler de l’armée de produits dermatologiques que je me devais d’appliquer religieusement chaque jour.

Mes grandes leçons de vie ou comment j’ai survécu grâce au maquillage