Vivre Comme un Enfant: Comment le Changement de Perspective Peut Augmenter Notre Joie

Introduction : L’étau de l’âge adulte

Avez-vous souvent cette impression insidieuse qu’en tant qu’adultes, nous devons nous traîner avec des lunettes aux verres de sérieux ? Cette croyance selon laquelle nous devrions renoncer à nos petits plaisirs infantiles est bien enracinée dans notre société. Mais qui a fixé ces règles stoïques de l’adulte qui ne doit rien s’autoriser de léger? Ne sommes-nous pas des êtres capables d’apprécier encore le goût simple de la barbe à papa ou le plaisir délicieux de sauter dans une flaque d’eau après la pluie ?

Garder la Joie de l’Enfance

Pourquoi donc devrions-nous abandonner la petite joie ou le bonheur que certaines choses peuvent nous apporter, simplement parce que nous avons grandi ou que notre perspective a changé ? Faut-il vraiment que nous renoncions à ces plaisirs simples, pour enfiler le costume sérieux de l’adulte ? Oui, c’est vrai, noyé dans un tas de factures à payer et de responsabilités à gérer, il serait presque honteux de s’autoriser de trépigner de joie devant le camion de crème glacée. Mais qui a dit que les adultes devaient arrêter de rire ?

La Chasse aux Lignes d’Argent

N’est-il pas envisageable dans notre vie d’adulte, de chasser les lignes d’argent, ces petits bonheurs qui nous aidaient à égayer notre journée d’enfant ? Alors oui, peut-être, en tant qu’adultes, nous avons tendance à voir le monde sous un jour sévère, confrontés que nous sommes aux dures réalités de la vie. Cependant, cette sévérité ne doit pas éclipser les moments de joie et de gaieté, mais plutôt, nous motiver à les chercher, à les poursuivre avec ferveur. N’oublions pas, chers amis adultes, que chaque nuage a une doublure argentée … un peu comme chaque facture a une date d’expiration.

: La Dérision en Tant qu’arme

Alors oui, voyons donc le monde d’un œil plus sévère, mais n’oublions pas de garder notre deuxième œil pour traquer les petites joies qui se cachent en embuscade. Après tout, qui a dit que seules les enfants avaient le droit de s’amuser ?