Turquoise trivialities : un coup de projecteur sur le cancer gynécologique

L’importance de la sensibilisation au cancer gynécologique

Octobre Rose, vous connaissez ? Dans un élan de solidarité mondial, ce mois a été consacré à la sensibilisation au cancer du sein. Néanmoins, laissez-moi vous présenter son parent pauvre moins connu, Septembre Turquoise, dédié aux cancers gynécologiques. Le cancer des ovaires, difficile à diagnostiquer et pas très généreux de la renommée, détient à lui seul la covetable huitième place dans le hit parade des cancers féminins. On pourrait presque entendre les constantes téléspectateurs de l’American Idol dire : “Et en huitième position, nous avons le cancer des ovaires !”

Une menace pour l’écosystème génital féminin

Mais n’oublions pas que ce n’est pas seulement les ovaires qui sont en danger. L’utérus, la vulve, l’endomètre, en fait, l’ensemble de l’écosystème génital féminin tente courageusement d’éviter d’être fauché par le fléau de la maladie. Et si vous pensez que le dépistage est votre bouclier contre cette menace, alors je suis désolé d’éclater votre bulle. Le dépistage est souvent aussi utile qu’un parapluie en papier dans une tempête de neige quand il s’agit de ces cancers.

La prévention, nos aboiements avant-coureurs

Dans ces moments sombres, la prévention agit comme notre aboiement d’alerte. Nous devons tous apprendre à repérer les symptômes avant-coureurs, ces signaux rouges qui disent : “Eh, quelque chose ne va pas ici”. Donc, avant de se lancer dans le tour d’horizon des cancers gynécologiques, n’oubliez pas de prendre du temps pour vous écouter et comprendre les signes de notre propre système d’alarme interne. Après tout, mieux vaut prévenir que guérir, n’est ce pas ?

Les cancers gynécologiques, en quelques chiffres