Du rire au menu: Comment bien gérer les repas de Noël en dépit des troubles alimentaires
Ah, Noël! Un temps pour la joie, l’amour et, plus important encore, la nourriture. Des entrées extravagantes au dessert sucré, c’est une véritable Orgie Culinaire 101. Pour beaucoup, ces festins opulents sont synonymes de chaleureuse camaraderie, d’instants de partage et de convivialité. Pour d’autres, c’est comme traverser un champ de mines… gustatives.
Imaginez une grande danse des plats XXL, qui voyagent de mains en mains et remplissent les assiettes jusqu’à ce qu’elles débordent. Pour certaines personnes aux prises avec des troubles alimentaires, cela provoque une panique intérieure digne du moment où l’on réalise que l’on a perdu les tickets de Tombola d’office.
Ajoutez à cela le défi de gérer les commentaires désobligeants sur la quantité de nourriture que vous décidez de manger ou ne pas manger, et les festivités de Noël peuvent rapidement se transformer en une retraite tactique des rudes champs de bataille de la santé mentale. Mais n’ayez crainte, nous avons quelques stratégies pour vous aider à naviguer dans ces eaux difficiles et à vivre les repas de Noël avec plus de sérénité.
Un briefing avant la bataille: Informez vos proches à l’avance
Comme une bonne stratégie de guerre, il est essentiel de faire un briefing avec vos alliés avant le jour J. Parlez de votre situation à vos proches. Souvent, l’incompréhension entraine des gaffes involontaires. Si tante Gertrude comprend pourquoi vous ne voulez pas de sa célèbre mousse au chocolat, elle sera moins susceptible de faire une deuxième astuce de vente encore plus entraînante: “Allez! Juste une petite cuillère pour tante Gertrude!”