La résilience toxique, un cousin éloigné et inconnu du clan de la “positivité toxique” est le nouveau virus qui infeste le trio mortel du monde du travail, avec le burn-out et la dépression. Les employeurs voient souvent cette étrange maladie comme un signe d’attachement et de dévotion lucratifs à leur cause.Dessinant les contours d’une course effrénée à la productivité et nourrissant une culture dangereuse de “toujours plus”, la résilience toxique est loin d’être la panacée pour un environnement de travail sain. [Insérez blague ici : Pourquoi ne pas supprimer le café de la cafétéria ? Les employés n’auront pas besoin de ça pour être éveillé !]. Les individus atteints de ce mal se distinguent par leurs postures d’endurance, un sourire dur comme du marbre toujours accroché au visage.Mais également par leur volonté à réaliser tâches sur tâches jusqu’à s’épuiser complètement, telle une pile qui trouve miraculeusement de l’énergie même lorsqu’elle est soi-disant à sec. Tout cela n’est pas fait par caprice. Non ! La résilience toxique est devenue une sorte d’épée de Damoclès pour attirer la sympathie et l’approbation des pairs. Un enchantement profondément incohérent avec l’effervescence autour du discours de bien-être tant prêché par les entreprises.
Sans détours : Que signifie réellement la Résilience Toxique ?
A venir …