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Le Roi et la Reine du sommeil s’endorment dans un décor pittoresque

Le Roi et la Reine du sommeil s’endorment dans un décor pittoresque

Les dormeurs incompatibles

C’est une drôle d’histoire, celle d’Aaron et moi. Vous pourriez penser que nous filons le parfait amour pendant la journée mais que les choses se compliquent la nuit. En effet, vous seriez surpris d’apprendre qu’en matière de sommeil, nous sommes plus proches du yin et du yang que du tic et du tac, illustrant ainsi parfaitement le fameux adage selon lequel les opposés s’attirent. Ce qui est sûr, c’est que notre lit, quotidiennement le théâtre de chaleureuses discordances nocturnes, ne connait pas la douce monotonie des habituelles alcôves conjugales.

Le grand jeu des préférences

Que ce soit en termes d’oreillers ou de couvertures, nos différences sont légion. Je suis du genre “moins c’est mieux”, préférant une légère couverture et un seul oreiller. Pourquoi s’en encombrer quand on peut avoir la paix avec moins ? Aaron est du genre “plus on est de fous, plus on rit”. Il s’entoure de guirlandes d’oreillers et de montagnes de couvertures, comme un châtelain voulant se protéger du froid hivernal sous le luxe. D’ailleurs, sur le sujet de la température, le constat est tout aussi divergent : si j’aime me sentir légère et aérienne pendant la nuit, Aaron préfère hiberner au chaud, au propre comme au figuré.

Ce n’est pas qu’une histoire de… temps

Étrangement, nos besoins biologiques diffèrent également. Alors que pour moi, un peu plus de six heures de sommeil seront suffisantes pour me sentir en forme toute la journée, la biologie d’Aaron, capricieuse reine des siestes, a tendance à réclamer un peu plus d’attention. Avec ses nuits de huit heures en moyenne, plus la sieste d’après midi qu’il clame être “absolument nécessaire”, Aaron fait pencher la balance en sa faveur côté durée de sommeil.

Le dédale duveteux

C’est dans ce contexte que notre lit, ce havre des rêves, peut sembler être une véritable jungle de couettes, d’oreillers et de draps. Un joyeux chaos que j’aime à nommer “Le Bedding Bonanza”. Même si au premier coup d’œil, on pourrait penser à un vide grenier de literie, ce mélange hétéroclite a son charme. Pour protéger notre formidable capharnaüm contre les pattes délicieusement pleines de litière de notre chat et contre notre chien, qui est, eh bien… simplement notre chien, nous le recouvrons avec une grande couverture de protection. Ce spectacle peut certes paraître comique, mais n’est-ce pas la clé de notre modus vivendi presque parfait depuis près de dix ans ?

Les leçons de l’harmonieuse cacophonie

De notre aventure onirique, vous pourriez déduire que le fait que deux dormeurs se trouvent aux antipodes ne signifie pas nécessairement la fin de leur amour. Non, que nenni! Au contraire, cela donne naissance à une dynamique particulièrement divertissante, aux découvertes aussi étonnantes que persuasives. La moralité de toute cette histoire? L’amour ne compte pas les couettes. Finalement, entre les ronflements d’Aaron et les coups de pieds (accidentels) que je lui donne, notre lit est bien plus qu’un espace de repos. C’est le territoire partagé d’un amour épique, composé de défis, de comfort et de compréhension mutuelle. Et surtout, c’est le symbole d’un tandem qui, malgré ses divergences, réussit à accorder ses différences pour mieux sombrer ensemble dans les bras de Morphée, chaque nuit.


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