Julie
Blessé(e) par une relation toxique avec un pervers narcissique ? Vous n’êtes pas seul(e). Voici des conseils biscornus mais efficaces pour vous aider à vous relever et à retrouver votre moi véritable !
Au cœur de l’épicentre : Comprendre l’origine de la perversion narcissique
Qu’est-ce qui rend une personne aussi charmante que Cruella d’Enfer ? Pour lui donner un nom savant, une bonne dose de “perversion narcissique” dans la recette de leur personnalité distingue les pervers narcissiques de la population générale. Cette tendance, aussi envoûtante que l’antipode du Prince Charmant, peut être retracée, comme tout bon mélodrame, à leur enfance et à leur adolescence.
Imaginez un tout-petit terrorisé, apprenant à contrôler ceux qui l’entourent pour éviter l’abandon ou la douleur. Il s’agit essentiellement d’un mécanisme de défense qui a mal tourné, tout comme quand on essaie de créer une pastèque carrée et qu’on finit avec un ananas.
Au fur et à mesure que l’enfant grandit, il façonne son ego autour de cette stratégie. À l’âge adulte, le pervers narcissique a besoin d’exploiter les autres pour maintenir l’image idéalisée d’eux-mêmes qu’ils ont créée. On peut imaginer qu’ils sont comme les méchants dans les dessins animés, toujours à la recherche du prochain élixir de jeunesse éternelle ou du pouvoir absolu. Sauf que le moyen d’y parvenir n’est pas un objet magique, mais plutôt l’énergie et l’estime de soi des autres.
Ah, un petit rappel : même s’ils peuvent ressembler à des dragons cracheurs de feu à partir de cette description, les pervers narcissiques sont des êtres humains. Même les billes de poils adorables de chez Disney ont leur propre caractère. Bien sûr, certaines créatures sont plus aimables et leur peluche ne serait pas jetée dans les flammes. Mais chaque individu, peu importe à quel point il est serpentaire, a des facteurs de fond qui ont façonné sa personnalité.
