L’obésité en France: une salade (im)possible à mâcher ?

Une récente étude de l’Inserm, (Institut national de la santé et de la recherche médicale pour les néophytes), met en lumière une croissance croquante, bien que non souhaitée, de l’obésité chez les 18-24 ans. En effet, 23,2 % sont soit sur le chemin du surpoids, soit ont déjà franchi la ligne d’arrivée. Avant que vous ne commenciez à pointer du doigt ces jeunes amoureux de la malbouffe, laisse-nous t’aider à comprendre le problème en profondeur. Vous l’avez bien entendu : pas de stigmatisation ici.

“La moitié pleine”… ou vide ? Les Français.es et l’obésité

La tendance à l’obésité en France est aussi compliquée que d’essayer de cuire des œufs sans casser la coquille. Multi-facettes et touchant toutes les couches de la société, près d’un.e Français.e sur deux est concerné.e par l’obésité. Oui, tu as bien entendu. En d’autres termes, si tu es dans une pièce avec un autre Français.e, l’une de vous est susceptible d’être en surpoids ou obèse, selon les statistiques. Mais garde à l’esprit que derrière ces statistiques se cachent de véritables personnes… et non des beignets qui roulent !

La taille du problème : Comprendre le poids de l’obésité

Cette tendance à l’embonpoint n’est pas une blague de mauvais goût. C’est une véritable problématique de santé publique. Imaginez un problème de poids si énorme qu’il pourrait bien faire basculer la Tour Eiffel ! En gros, l’obésité est un bagage supplémentaire que de plus en plus de Français portent sur leurs épaules. Et croyez-moi, ce n’est pas le genre de bagage que l’on souhaite emporter pour un voyage en toute sérénité.

De l’autre côté du miroir: Qui sont les Français.es concerné.e.s ?

Qui sont exactement ces Français.es qui sont affectés par l’obésité ? Explique-moi, toi, une fan de pâtes carbonara qui est en train de passer du temps avec moi ? Ou peut-être ce monsieur qui est fan du pain au chocolat et qui refuse catégoriquement de l’appeler chocolatine (on vous voit, gens du Sud !) ? Peut-être… ou pas. C’est la beauté (et la tragédie) de l’obésité. Elle ne discrimine pas. Tout le monde peut en être affecté.