Le Calendrier de l’Avent: une histoire d’impatience et de gratification instantanée – Prise 2

Le calendrier de l’Avent est comme ce meilleur ami insupportablement attrayant – il est là tous les jours, alléchant et irrésistible, presque en se moquant subtilement de votre patience et de votre détermination. En se concentrant, on peut presque entendre un ricanement déconcertant venant du magnifique paquet coloré placé stratégiquement sur la table à manger. C’est le décompte passionnant de Noël, qui rend les jours froids de décembre un peu plus chauds et excitants, quel que soit son contenu – des petits personnages en chocolat, une collection de produits de beauté ou même des jouets coquins.

Une lutte matinale

Se lever le matin dans le froid glacial d’hiver est l’une des épreuves les plus difficiles qui soient. Parfois, le seul rayon de lumière qui vous motive à sortir de la chaleur réconfortante de votre lit est la pensée de déchirer un autre volet du calendrier de l’Avent. Et pourtant, souvent, la tentation de déchirer toutes les fenêtres cartonnées d’un seul coup est presque aussi puissante que la tentation de rester au lit.

La démangeaison du calendrier de l’Avent

Le calendrier de l’Avent n’est-il pas un grand teaser qui provoque votre impatience? C’est comme se gratter une démangeaison, sauf que parfois vous finissez par gratter jusqu’à la fin, bien avant Noël. C’est vrai, c’est décevant. Vous vacillez entre le plaisir de la surprise et la tentation de tout déballer d’un coup.

Le principe de la gratification instantanée et la torture du calendrier de l’Avent

La psychologie explique ce comportement par le principe de la gratification instantanée. On veut le chocolat maintenant. On veut le jouet maintenant. Nous ne voulons pas attendre. Nous voulons savoir, découvrir, goûter, ressentir – ici et maintenant. Le principe de la gratification instantanée – un phénomène difficile à combattre qu’il nous confère notre impatience d’ouvrir toutes les fenêtres du calendrier de l’Avent avant qu’il ne soit temps.