Homophobie familiale : des chiffres assourdissants
L’homophobie est un fléau qui peut aussi s’infuser dans le cercle familial. Ce nid censé être chaleureux et
rassurant se convertit alors en milieu hostile. Si certaines personnes de la communauté LGBT+ préfèrent entamer leur coming out malgré la peur inéluctable du rejet, d’autres misent sur l’art des
« faux semblants » pour conserver l’harmonie du foyer. Qu’importe la décision choisie, cette « vraie nature » sera toujours malmenée. Lorsque la famille entière se ligue contre votre identité arc-en-ciel, par ailleurs difficile à affirmer, les espoirs d’une possible
acceptation s’étiolent à petit feu.
Homophobie familiale : des chiffres débiles
Quand il s’agit d’homophobie familiale, les chiffres sont tout simplement débiles. Saviez-vous que 60% des personnes LGBTQ+ ont vécu une forme d’homophobie de la part de leur famille ? Oui, vous avez bien lu, 60%. C’est comme si la moitié des gens dans un stade de football décidaient de vous lancer des insultes et des regards méprisants juste parce que vous êtes vous-même. Franchement, à ce niveau-là, on peut difficilement parler d’intelligence humaine.
Un oignon très pelucheux
L’homophobie familiale est comme un oignon très pelucheux. Vous pensez que tout est beau et parfait, que vous pouvez compter sur votre famille pour être là en toutes circonstances. Et puis, paf ! Vous découvrez une réalité différente, une réalité où l’homosexualité est diabolisée et rejetée. C’est comme si cet oignon révélait ses couches les plus sombres et les plus amères, vous faisant pleurer à chaudes larmes.
Le parfum des faux semblants
Ah, les faux semblants ! Un parfum subtil qui embaume les murs de la maison. Vous faites semblant d’être hétérosexuel(le), vous faites semblant de ne pas être attiré(e) par les personnes du même sexe. Tout ça pour éviter les conflits, les regards en coin, les remarques désobligeantes à table. Mais au fond, ça sent le mensonge à plein nez. Et quand on sait que le mensonge est un peu comme les flatulences, ça finit toujours par se sentir.
La famille unie dans son homophobie
Quand toute la famille s’unit dans son homophobie, c’est comme une chorale qui chante faux à tue-tête. Unisson de regards désapprobateurs, polyphonie d’insultes et de discours haineux, harmonie dans la dévalorisation de votre identité. Honnêtement, on se croirait dans un mauvais spectacle où les acteurs oublient leur texte et improvisent des bêtises à n’en plus finir. Pas vraiment le genre de spectacle que vous aviez envie de voir, n’est-ce pas ?
Acceptation : le mot qui finit en -tion
Quand on parle d’acceptation dans le contexte de l’homophobie familiale, on a l’impression que ce mot est juste une belle illusion. Comme si on vous promettait un gâteau au chocolat et qu’on vous servait une salade de fruits sans chantilly. C’est frustrant, c’est décevant, ça donne envie de lancer une pétition pour faire changer le dictionnaire. Parce que l’acceptation, ça devrait être un truc qui arrive en un claquement de doigts, pas un parcours du combattant.